Protest The Hero - Divan du Monde

En ce dimanche 26 juin 2011 il était bien difficile de circuler facilement aux alentours de la porte de la Villette. Protest The Hero le petit (en France) groupe canadien aurait-il réussis à ramener la foule? Mais bien sur que non sacripan, si j'ai eu autant de mal à sortir à la porte de la Villette ce jour la c'était tout simplement à cause du Salon du Bourget qui lui à réalisé une bonne recette.

Mais la n'est pas la question, arrivé 10 minutes avant l'ouverture des portes sur les lieux, quelle ne fut pas ma surprise de m'apercevoir que 20 personnes à tout péter sont présentes. Les portes ouvrent, je rentre, même pas le temps de m'acheter un t-shirt que le premier groupe (nous aurons le droit ce soir à 3 groupes français en premières parties, tous aussi relou les uns que les autres) enchaine direct après son intro sur du Édith Piaf. Le groupe, dont le nom m'échappe malheureusement, propose un Metalcore sans une once d'originalité (si, si le Metalcore original ça existe) avec quelques passages électros fort dégueulasses. Heureusement le groupe ne jouera que 10 minutes avant de remballer. Cela m'aura au moins permis d'admirer les tatouages de Rody Walker (le chanteur de Protest qui porte le même nom que notre Texas Ranger préféré) qui avait pourtant l'air de kiffer la première partie de la où il était dans la pénombre.

The Butcher's Rodeo:

On effectue 2, 3 balances puis c'est au tour de The Butcher's Rodeo de monter sur scène. Le groupe nous propose sensiblement la même chose que le groupe précédent en un peu plus violent et avec les passages électros pourris en moins. Le son est tellement dégueu que je capte pas une seule parole de tout le set. Leur, court, temps de jeu sera en plus ponctué de problèmes de son (enceinte du deuxième guitariste HS) ne facilitant pas l'immersion dans une musique, à la base, fort compliquée à appréhender. Le seul point positif avec ce groupe c'est qu'il met ses albums en téléchargement gratuit. Ah oui et puis aussi, le chanteur nous a sortit une phrase fort bien pensé à ce sujet, je cite: "la musique c'est fait pour l'écouter, pas l'acheter".

Beyond The Dust:

La salle se remplit peu à peu, puis c'est le dernier groupe guest qui monte sur scène après un bon quart d'heure de balance dont on se serait bien passé. Beyond The Dust même si il était le moins mauvais des trois groupes (j'ai bien dit la moins mauvais, pas le meilleur, aucun groupe n'était bon donc TAGGLE) nous resservait encore une fois ce même Metalcore vu et entendu des milliers de fois. Le groupe se paye même le luxe d'avoir deux chanteurs (un gay et un crédible), alors qu'un seul aurait largement suffit quand on voit les "prouesses" dont ils sont capables. En fait Grosse Voix (nous les appellerons Grosse Voix et Petite Voix) est au final assez correct dans ce qu'il fait et possède un look soft ce qui le rend crédible par rapport à Petite Voix qui faisait de la peine derrière son gel et qui n'en pouvait plus de nous montrer ses beaux biceps. Un morceau m'a tout juste fait taper du pied (le seul durant lequel Petite Voix était sortir de scène) mais ça s'arrête la. De la ou j'étais j'avais plutôt l'impression que ça s’arrêterait jamais qu'autre chose. A noter l'attitude exécrable de Beyond The Dust qui n'ont à aucun moment remercié Protest (ce que les 2 autres groupes s'étaient empressés de faire) de les avoir rajoutés au dernier moment à l'affiche. Le groupe n’arrêtait pas de se la péter "faites du bruit pour Beyond The Dust"... Alors je dis pas, encore ils auraient étés en terrain conquis, mais c'était loin d'être le cas et ce n'étais donc ni le lieux ni le moment de faire ce genre de déclarations.

Protest The Hero:

C'est finalement à 21h00 pile que les canadiens de Protest The Hero montent sur scène après avoir effectués eux mêmes leurs balances. Pas d'intro grandiloquente, juste Rody qui présente le groupe et annonce "C'est La Vie", le très bon premier titre de leur dernier album Scurrilous. Alors je sais pas si c'était parce que j'étais contre la scène face aux enceintes de Tim Millar (second guitariste) mais durant les 8 premiers titres je n'ai presque pas entendus la voix. Heureusement cela s'est arrangé pour les 3 derniers titres qui furent tout simplement les meilleurs. Le groupe est ici pour défendre son dernier album et ce n'est pas moins de 5 titres: "C'est La Vie","Tapestry", "Dunsel", "The Reign Of Unnending Terror" et "Sex Tapes" (soit presque la moitié de la set-list) qui y seront consacrés. Cependant ces titres sont surement les moins bien reçus par le public qui n'avait pas l'air de beaucoup les connaître. Hormis "Sex Tapes" les titres de Scurrilous sont donc synonymes d'ennui dans la fosse qui a attendu les 4 derniers titres pour mettre réellement l'ambiance. Le groupe nous joue également 2 des titres les plus impressionnants de son répertoire à savoir "Wretch" et "Bone Marrow". Mais encore une fois pendant ces titres très techniques et très progressifs le public n'est pas vraiment au rendez-vous et préfère contempler Arif Mirabdolbaghi manier sa basse comme personne. Le bonhomme, réellement impressionnant, était très heureux d'être ici et n’arrêtait pas de nous sourire. Le voir vivre sa musique à ce point était un pur moment magique. Il s'était surement roulé un gros chichon avant de monter sur scène mais peu importe c'était quand même bien marrant. Un dispensable "Goddess Gagged" et un magnifique "Blindfolds Aside" plus tard, la fosse commence tout juste à Headbanguer et à Pogotter. L'enchainement "Sequoia Throne"-"Bloodmeat" sans temps mort est magistral et "Sex Tapes" est LE titre parfait pour terminer un show avec son côté progressif et direct en même temps.

En conclusion:

Ce concert de Protest The Hero était une pure démonstration de talent malgré un son souvent capricieux et un public mou comme je n'en avais jamais vu. Les mecs de Protest étaient également, il est important de le préciser, très blagueurs ce soir "nous sommes Protest The Hero du Canada, et quand j'étais petit mon père me touchais le zizi avec sa bouche" ou encore "je pense qu'après ce concert je vais aller me tirer une balle dans la tête, m'endormir et plus jamais me réveiller" pour les plus notables. Mais Protest était également très proche de son public avec des mecs qui n'en finissaient plus de nous remercier et de serrer des mains. Je vous conseil donc d'aller voir Protest The Hero en concert des que vous en aurez l'occasion vous ne serez pas déçus pour peux que vous aimiez un minimum la musique complétement barrée et très technique et l'ambiance bon enfant.

Setlist:

-C'est La Vie
-Bone Marrow
-Tapestry
-Wretch
-Dunsel
-Goddess gagged
-Blindfolds Aside
-The Reign Of Unnending Terror
-Sequoia Throne
-Bloodmeat
-Sex Tapes

Tenacious D In The Pick Of Destiny

Date de Sortit:
- 2006 USA
- 2007 France

Salut à tous c'est Zboub et aujourd'hui ce n'est pas un test en particulier que vous allez voir mais plutôt, une sorte de présentation d'un film et pas un film de merde, car voici Tenacious D in The Pick Of Destiny. Pour ceux qui ne savent pas, Tenacious D est avant tout un groupe de musique composé de Jack Black et Kyle Glass, les 2 gros acteurs et musiciens les plus drôles du monde du Heavy Metal. Et ces 2 compères nous ont ponduent un film remplit d'humour, de Heavy Metal et d'humour et de Heavy Metal.






Dans ce film un jeune garçon nommé JB (Jack Black) vit dans une petite ville nommé Kickapoo, mais sa famille est très croyante et ne veut pas qu'il fasse du Metal, il décide alors de s'enfuir vers Los Angeles après une discutions plus que probable entre lui et son poster de Ronnie James Dio (RIP). Il fait alors, en se baladant, la rencontre d'un guitariste solitaire jouant de la gratte pour vivre dans son petit appartement, d'abord il rejette JB mais très vite, il arrive à lui faire croire qu'il lui a sauvé la vie, et qu'il est un grand guitariste. JB tombe dans le panneaux, et décide de vivre avec lui, KG (Kyle Glass), et mettre en marche le Kyle Gass Project. Mais très vite il s’aperçoit que KG n'est qu'un imposteur et n'est en fait qu'un raté chauve. Mais JB, après avoir reçus une jolie guitare de la part de KG, décide de continuer leur groupe sous le nom de Tenac puis Tenacious D, mais je vous laisse voir comment ils trouvent ce nom. De la commence l'aventure pour trouver le PD (Pique du Destin), pour pouvoir être le meilleur groupe du monde. Les voila partit dans une aventure digne d'un film de James Cameron, ou se mêleront, des Gardiens de nuit cons, des champignons hallucinogènes, des Yeti gentil et même le diable.

Bref, ce film est un film fait pour les MetalHead qui ont de l'humour. La bande-son est faite spécialement pour le film par Jack Black et Kyle Gass, d'ailleurs, un CD est disponible
et regroupe tous les titres présent dans le film allant de "Kickapoo" à "Beelzeboss". Cet album est le 2eme du groupe qui, pour leur série, avait déjà sortit un album avec d'excellent titre, essentiellement basé sur le mélange entre guitare acoustique et humour. Pour les fans, sachez qu'un DVD live du duo est disponible en DVD, mais plus qu'un live, c'est une experience à ne pas rater.



By Zboub c======3

Deep In Hate - Marolles en Zic

Qui aurait pu croire qu'un concert gratuit dans un bled aussi pommé que Marolles en Hurepoix serait finalement ni plus ni moins l'un des meilleurs concert qu'il nous est été donné de voir. Et pourtant la soirée se présentait assez mal. Rien d'autres que des groupes locaux de reprise pop (Cranberries - Zombie environ 4143 fois) pour tout vous dire, c'était assez mauvais. Pour ne citer que 2 groupes, Profiterolles et Quiche lauraine Project. Mais bon, notre patience a finalement aboutie vers 00:30 lorsque Deep In Hate est annoncé par le super chauffeur de salle qu'on a sentit très emballé par le groupe.







Au début de la soirée juste avant qu'ils ne commencent, il y avait environ une centaine de personnes présente venue pour se divertir gentillement en famille, ne s'attendant pas à voir arriver le groupe de Brutal Death Metal Parisien (pour tout vous dire nous non plus quelques semaines auparavant). Mais bref commençons par le commencement, au début. Mathieu, Vinc, Flo, Kam et Bastos montent sur scène, effectuent quelques balances. Après 10 minutes de préparations, Math (le chanteur) présente le groupe et annonce la fin du monde bientôt proche: "c'est le moment d'aller coucher vos enfants, on est un peu hors-contexte", remercie les fans présents (on devait être une quinzaine) :" pour ceux qui nous connaissent bonsoir, et pour ceux qui nous découvrent...bah...désolé". Une mamie vient gentillement nous voir pour nous demander de nous assoir (elle ne voyait pas la scène) ne sachant pas à quoi elle va avoir affaire.

Il est important de rappeler que nous avons été assez chanceux en ce soir de 18 juin car Deep In Hate est plutôt habitué à ouvrir pour d'autres groupes et donc d'avoir un temps de jeux assez restreint. Cependant ce soir le groupe ( qui fait figure de tête d'affiche...) va interpréter l'intégralité de son nouvel album Origins Of Inequality hormis "For Our Fathers" (une instrumentale largement dispensable pour un live tel que celui ci) et deux titres de son premier album Only The Strong Survive.

Le groupe commence donc avec son introduction du deuxième album, assez oppressante, et enchaine direct sur "Sands Of Time" dans la chatte à ta mère la race la pute(dixit Morsay). La salle se vide rapidement (il était effectivement l'heure d'aller coucher les enfants et les vieux aussi) et c'est finalement comme je le disais plus haut seulement une quinzaine de personne qui reste. Le son est bon (pour une salle comme celle-ci) et les lumières, même si elles sont minimalistes, renforcent encore un peu l'atmosphère oppressante.

Le groupe continue de défendre leur cause avec les excellents "Unworthy Species" et "Legions Of The Weak", qui déchire ton slip en live (preuve à l’appui plus bas). Deux excellents titres du deuxième album même si on attendait avec impatience "Lobotomizing the Masses" qui est quand même un des meilleurs titres d'Origins Of Inequality. Mais juste avant on a eu le droit au très bon "Status Idle" (premier album) avec lequel on a pu, une fois de plus, admirer les solos de malades de Vinc et Flo. Bastos non plus n'est pas en reste durant le set, malheureusement faute d'une scène trop petite, on ne le voyait pas beaucoup il était en permanence caché par le jeu de scène de Flo et Kam. Après un "Hopeless Addiction" très bien interprété (comme tous les titres d'ailleurs), vient le très attendu (par 15 fans) "Lobotomizing The Masses" qui est introduit par Math dans la chatte à ta mère en nous disant qu'il était le premier clip du deuxième album disponible sur Youtube ainsi que Fessebook.

Ils nous terminent ensuite avec 4 titres convaincants "Return To The Sources", "Virtual Supremacy", "Seven Days Of The Talion", "From Above The Anthill". Pas innovant mais, c'est pas ce qu'on leur demande, nous ce qu'on veut c'est du pur Br00tal et ils ont su nous combler à ce niveau, mais pas que, car pendant toute la soirée ils n'ont cessé de donner tout ce qu'ils avaient dans leurs couilles et nous ont offert un show digne des plus grands.

En conclusion:
Nous avons passé un excellent concert, Zboub et moi même, en compagnie de Deep In Hate qui aurait très bien pu bâcler ce dernier à la vue du peu de gens présents ce soir. Mais il n'en fut rien. De plus les membres sont très sympa et facilement abordables, nous avons eu l'occasion de discuter avec Flo, Kam et Vinc ainsi qu'un de leurs potes qui, même si ils avaient l'impression de s’être fait enculer (c'est pas la même chose que d'ouvrir pour The Faceless), gardaient le sourire.

Setlist:


Vidéo:

Legions Of The Weak:


Status Idle:


Photos:

Avant le concert:





Pendant le concert:







Cette dernière photo est particulièrement drole.

R.I.P. Ryan Dunn

Salut à tous, étant un très grand fan de Jackass et surtout de Ryan Dunn, je me sens obligé de poster un truc sur sa mort, en effet il a réussit à survivre à toute les conneries qu'ils ont faites ensemble et meurt dans un bête accident de voiture.

Je sais pas quoi dire d'autre alors je mets des photos:


La il est pas mort, (juste surement) bourré.

La il est fou.

La on dirait qu'il est bourré et fou.

Guns n' Roses - Appetite For Destruction

Bonjour à tous c'est Zboub et aujourd'hui on se retrouve avec la chronique de l'un des meilleurs groupes de Metal qui existe et qui existera car ils ont tout de même réussi plusieurs perles dans le domaine. Le nom de Guns N' Roses en fait surement frémir plus d'un, j'ai déjà écrit une présentation de ce groupe sur le site donc pour éviter de me répéter je vous mets le lien de la présentation juste ici.


Cet album est le premier album du groupe et surement le meilleur car sur les 12 titres il n'y en a aucun et je dis bien aucun qui mérite d’être traité de titre de remplissage excepté peut-être une légère baisse de niveau sur "Rocket Queen" qui clôt l'album. Pour les plus vieux, l'écoute de cet album s'est fait en 1987 et ont donc découvert le groupe et la voix charismatique d'Axl Rose à cette époque, voix qui rappel celle de Dan McCafferty du groupe Nazareth. Rien qu'avec l'intro du CD "Welcome to the jungle" ont rentre dans une nouvel ère, celle des 80's, on oubli tout ce qui se passe autour de nous, on est transporté "In the jungle", on se sent fort on danse à la manière d'Axl (c'est à dire très mal). Faut quand même avoir un talent énorme pour sortir de tels riffs et de telles chansons dans un premier album. Appetite For destruction contient un des meilleurs titre du groupe toute époque confondu, les fans savent surement déjà de quel titre je veux parler, eh oui il s'agit bien du cultissime "Sweet Chil o' Mine", son introduction dantesque restera dans la mémoire de tout bon métaleux, il s'agit d'une ballade entrainante aux riffs et au refrain juste mémorable, a son écoute on a vraiment l'impression de se prendre une claque dans le gueule mais le pire c'est le solo, alors la c'est carrément un coup de pied dans les couilles on est ailleurs et on ne peut que passer du bon temps en écoutant le superbe son de la désormais culte Gibson de Slash.

Ce CD est très diversifié et le titre "Its so easy" est un peu plus sombre que les autres aux niveaux de la voix mais aussi des riffs, pourtant on retrouve aisément l'esprit des Guns. Il regroupe aussi d'excellent titre tel que "Paradise City" ou "Mr Brownstone", mais le meilleur titre de cet album, excepté "Sweet Child o' Mine", est le merveilleux "Nightrain", qui en live est une vrai tuerie scénique. Pour finir je dirais que cet album est un presque sans faute, il regroupe tout ce dont vous aurez besoins si vous voulez connaitre les Guns. Le groupe sortira plus tard les 2 albums Use Your Illusion qui feront presque oublier Appetite for Destruction avec, et de loin, la plus belle des ballades du Metal, "November Rain"("November Rain" qui ressemble fortement à "Street Of Dreams" de leur dernier album qui est en dessous de tout leurs albums précédent).

Si je devais noter ce CD, je lui mettrais 17 saucisses sur 20 chinois, ce qui est tout a fait honorable pour un CD qui a fait ses preuves et qui les faits encore.

Tracklist:

1. Welcome to the Jungle
2. It's So Easy
3. Nightrain
4. Out ta Get Me
5. Mr. Brownstone
6. Paradise City
7. My Michelle
8. Think About You
9. Sweet Child o' Mine
10. You're Crazy
11. Anything Goes
12. Rocket Queen



By Zboub c======3

Alestorm - Back Through Time

Oyé, oyé, bien le bonjour mes amis, soyez les bienvenus, embarquez avec moi sur le navire Back Through Time, je vous promet 50 minutes de rigolades et de mélodies épiques comme il faut.

Comme on ne change pas une équipe qui gagne, c'est encore une fois les petits écossais d'Alestorm (qui deviendront grands d'ici quelques années ne vous inquiétez pas) qui nous livre un album de Power-Folk bien sympathique. Mais attention, je vous préviens tout de même, Back Through Time n'est pas l'album de l'année non plus. Il fait tout simplement ce qu'il doit faire, c'est à dire divertir! Vous vous le passerez peut être en boucle durant toute une semaine avant de passer à autre chose pour y revenir de temps en temps, mais il ne fait nul doute qu'Alestorm est un groupe que l'on n'écoute pas réellement sur la durée mais plutôt entres potes durant une soirée bien arrosée ou encore dans un pub remplit de pirates. Cet opus n'est donc ni plus ni moins la suite logique des deux précédents albums du groupe (Captain Morgan's Revenge et Black Sails At Midnight), entendez par-la que Christopher roule toujours autant les R, les orchestrations épiques sont toujours omniprésentes et le thème des pirates est toujours le centre des lyrics.

Cependant Back Through Time, même si il est la suite logique des deux précédents albums, possède néanmoins quelques nouveautés. Tout d'abord ce petit dernier possède un côté Thrash indéniable (riffs de Back Through time, Shipwrecked, Buckfast Powersmash...) qui n'est pas désagréable et montre une petite évolution à ce niveau la, mais n'allez pas croire que l'album est une ode à la violence, car il n'en est rien. En effet, même si les riffs peuvent faire penser à du Slayer ils sont immédiatement suivis par le clavier de Mr Bowes qui nous rappel que c'est bien d'un groupe de Power-Folk dont il s'agit.

Mais il y a bien plus que les riffs Thrash en nouveautés... Il y a "Death Throes Of The Terrorsquid". Ce titre est à n'en pas douter LE titre de l'album. Long de presque 8 minutes ce titre est une véritable nouveauté pour Alestorm. Même si au début on a bien l'impression d'être face à un titre traditionnel d'Alestorm, on s'aperçoit rapidement que ce titre provoque un sentiment d'insécurité assez magnifique et fort bien foutu. Les orchestrations y sont pour beaucoup... Cependant, c'est réellement vers 4min30 que le titre prend une toute autre forme. Car effectivement nous n'avons plus la affaire à un titre de Pirate Metal mais bien à un titre Black Metal (fort bien fichus d'ailleurs) que ne renieraient pas les anciens de Cradle Of Filth et autres Dimmu Borgir. Bowes ne chante plus (a-t-il déjà chanté?) il gueule et nous crache ses tripes à la figure. Je lève donc mon verre (remplit de Rhum) à Alestorm qui réussit avec ce 3ème album (qu'on appel souvent album de la maturité) à nous pondre quelque chose de franchement original et vraiment déroutant à la première écoute (au début j'avais franchement l'impression d'un bug dans la musique).

A côté de cela le groupe nous fait toujours l’apologie de l'alcool (The Sunk'n Norwegian, Rum) et nous gratifie toujours de titres mélancoliques (Scrapping The Barrel) et de titres joyeux (Barrett's Privateers). Pas grand chose à dire de ce côté la, les titres sont relativement classiques si vous connaissez déjà Alestorm et vous évoluerez avec ce Back Through Time en terrain connus. Sinon il y a aussi l'inutile "Rumpelkombo" et le mauvais "Buckfast Powersmash". Le titre éponyme ouvre merveilleusement bien l'album et nous présente une version accélérée d'Alestorm. Ah oui, une autre nouveauté, tout au long de l'album on s'aperçoit que le groupe joue beaucoup plus vite que dans ses précédents méfaits, alors la faute au nouveau batteur, Pete Alcorn?

L'édition limitée possède également 2 titres bonus, "I'm A Cider Drinker" et "You Are A Pirate". Ces deux titres, même si ils sont assez anecdotiques ont le mérite de nous faire sourire (surtout "You Are A Pirate" et sa mélodie qui reste dans ta tête toute la journée).

En conclusion: 15/20
Alestorm propose avec Back Through Time son album le plus aboutit. Le groupe prend des risques et ainsi évolue tout en proposant quelque chose relativement similaire à ces précédents disques à son public qui est conquit. Même si cet album possède moins de hits en puissance que Captains Morgan's Revenge il possède une véritable œuvre d'art, j'ai nommé "Death Throes Of The Terrorsquid" qui vaut à elle seule l'achat (et non pas le téléchargement) de l'album.

Sachez qu'il existe également une version limitée à 500 exemplaires de l'album livré avec un Bobblehead du Captain Morgan. Cette version est disponible chez Napalm Records et ne coûte que 35 €, le Bobblehead est franchement bien foutu, et c'est pourquoi je vous la conseille.

Videotest Adventure Island 2 [NES]

Salut tout le monde, et aujourd'hui on vous lance un Fuckin Videotest de Adventure Island 2 sur la Nintendo NES, la fameuse première console de salon de Nintendo (à part la Famicom bien sur). Bref, ce jeu c'est de la Plate-Forme et c'est sortit en 1992, vous pouvez également le retrouver en noir et blanc sur Game Boy première du nom, mais ne vous trompez pas, sur Game Boy, il s’appelle Adventure Island 1 sortit également en 1992 mais aussi sur la console virtuelle de la Nintendo WII. Mais passons tout de suite au Videotest Bitch.

Jeux Vidéos - The Flying Hamster

Salut à tous, aujourd'hui que vous soyez fan d'Hamtaro ou de Gradius vous allez être servit car vous êtes entrain de lire le test de The Flying Hamster, un petit Shoot-Em-Up sortit sur
Iphone, PSP, Ipad et PS3. C'est dispo depuis pas mal de temps déjà et c'est déconseillé au moins de 7 ans mais bon y'a pas franchement de truc pour donc on va considérer que c'est tout publique.


Le plus étonnant dans ce jeu, c'est quand on sait qu'il est développé par des français et oui les français de chez "The Game Atelier", je dis étonnant car en voyant le jeu on peut se dire que c'est du 100% pur jus de Japonais mais non c'est belle est bien français, et pourquoi s'en plaindre on fait rarement un bon jeu dans nos contrés. Le but de ce jeu est très simple vous êtes un petit hamster (inspiré d'Hamtaro), et votre copine vient de se faire capturer juste après que vous ayez découvert une graine de tournesol en or, WTF! Vous aurez un nombre de crédit de 5 au début (il augmentera par la suite), et vous avez 3 vies à chaque crédit. Ce jeu est un Shoot-Em-Up "classique" donc, vous aurez droit à des vagues d'ennemis qui n'ont qu'un but, traverser l'écran en tentant de vous tuer. Mais heureusement vous êtes un super Hamster(pas un qui se fait bouffer par un chat dénommé Lemmy) et vous trouverez des armes dans les niveaux comme des baies, de la bière, des boulettes de viandes, des épines de roses et encore d'autres. Et si vous n'avez pas cela, votre arme de base, c'est le crachat ;). Autant vous dire que le jeu est remplit d'humour et qu'en plus d’être un hit des Mini's, il est extrêmement drôle. A chaque fin de niveau vous devrez vous fighter avec un boss (celui qui a chaque cinématique de fin du niveau précédent kidnappe votre copine hamster). Le seul problème de ce jeu est qu'il est vraiment court, 5 niveaux plus un niveau caché, mais pas vraiment caché car une croix rouge indique son emplacement.
D'ailleurs je vois que pas mal de gens recherchent comment y aller, il suffit de détruire le mur ou il y a la croix rouge dans la pyramide en tirant dessus.

Les niveaux ont tous un thème et sont assez variés. On traversera le désert, le japon (pas celui avec des centrales nucléaires), un vaisseau spatiale et d'autres encore. Les ennemis eux aussi sont assez variés, on pourra mettre sur la gueule à des taupes, des corbeaux, des mouettes, des chats ninja, des vaches folles, des robots et bien d'autres encore. Pour finir je dirais que pour 2 euros (sur le PSN), ce jeu est juste un des meilleur point de vue qualité/prix c'est pas cher et on en redemande, de plus en finissant le jeu on débloque un mode difficile qui accentue le challenge déjà présent dans le jeu. Ah oui j'ai oublié de préciser qu'il y a des checkpoints dans les niveaux qui vous permettront de reprendre un niveau à un des 4 checkpoint présent dedans ne vous obligeant pas ainsi à recommencer un niveau depuis le début. Bon jeu à vous.

Aperçus:

Gros délire, des pingouins avec des parapluies dans une pyramide !

OMG, de la bière en guise d'arme !!

Ces développeurs ont vraiment dû fumer quelque chose avant de faire ce jeu...

Jeux Vidéos - Borderlands: GOTY

Salut à tous, aujourd'hui on se retrouve pour le test du très bon Borderlands: GOTY (Game Of The Year), cette édition comprend le jeu Borderlands ainsi que tout ses DLC. C'est édité par 2K Games (Bioshock) et Développé par Gearbox Software (Half-Life). Le jeu original est sortit en 2009, mais la version GOTY, testée aujourd'hui, est elle sortit fin 2010. C'est partit pour le test, Big John transition...






-Graphisme: 17
Ce jeu est juste magnifique, bon faut aimer le Cell-Shading (ce qui rend le coté comics aux graphismes), les niveaux de l'histoire principal ne sont pas extrêmement variés à part vers la fin ou l'on sera projeté dans des montagnes enneigés. Sinon le reste du jeu est un désert, très peu de verdure.
Heureusement, grâce à l'édition GOTY, on pourra avoir de nouveaux environnements, dont celui de "L'ile aux zombies du Dr Ned" qui est complétement différent du jeu original,
beaucoup plus sombre, ce DLC mérite vraiment d’être sortit, les niveaux sont très bien retranscrit pour les rendre très "Halloween". Les 3 autres DLC ne diffèrent pas vraiment du jeu original et c'est vraiment dommage, cela dit, ça ne veut pas dire que le jeu est moche loin de la, mais c'est vrai que cela devient assez lassant de voir et revoir les même textures au fil du jeu.

-Bande Son: 16
La bande son du jeu est juste super, en osmose avec l'univers, il y a de tout: Des musiques d'ambiances, des musiques sympas. Aucun défaut ici mais la musique reste tout de même en retrais et n'ait pas vraiment mise en valeur dans le jeu. Par contre si il y a quelque chose de génial, ce sont les doublages français réussis et le fait qu'il y ai pas mal d'humour dans les choix des textes et des voix. La bande son du DLC "Mad Moxxi" est très typé éléctro, mais ça colle bien avec l'effet arène de l'extension.

-Jouabilitée: 17
Le jeu est un FPS classique mais qui comporte des trucs bien à lui, comme les sauts qui sont extrêmement longs. Dans ce jeu vous aurez l'occasion d'avoir 4 armes sur vous comme des fusils sniper, des pistolets des revolvers etc, un bouclier qui peut comporter des capacités élémentaires, un type de grenade et un "titre". Les armes se comptent par centaines dans ce jeu, il y en a vraiment beaucoup et cela rend le jeu vraiment bon, elles sont classifiés par couleur allant du blanc (banal) à l'orange (très rare) voir cyan(tellement rare que je n'en ai jamais vu nul part, merci à 7luneaire de Jv.com de m'avoir préciser ceci). Elles ont aussi des effets bien à elle comme des capacités élémentales (oui elementales), la corrosion par exemple mais il en existe d'autres, comme le feu ou la foudre. Le bouclier aura lui un effet de bouclier simplet et n'apportera rien de particulier. Les grenades, elles, sont vraiment très efficaces, certaines rebondissent, d'autres explosent en petit bout, d'autres foncent sur l'ennemi, il y en a un très grand nombres. Mais le mieux, ce sont les "titres", ils apporteront des bonus à chaque "classe de perso", comme des rechargements plus rapide, de meilleurs dégâts, etc...
"Pour "Classe de perso" voyez dans Scénario"
Ce jeu est répétitif et cela le rend extrêmement ennuyeux si l'on accumule les heures de jeux non-stop. Il vaut mieux y jouer un peu chaque jour pour ne pas être dégouté de celui-ci.
Il y a un système de niveau dans ce Borderlands, et grâce à l'édition GOTY il est possible d'atteindre le niveau 69(grrr coquin) !! Fallout se fait sodomiser de ce coté là, mais uniquement de ce coté là.

-Durée De Vie: 17
Le jeu en lui même, sans les DLC est assez court (comptez environ une quarantaine d'heures de jeu), le fait est qu'il n'y a aucune interaction avec l’histoire comme dans Fallout. Le jeu est une sorte de couloir, et j'ai eu cette impression d’être tenus par la main du début à la fin. En effet le jeu est coupé en plusieurs maps, pas une seule grande. Et putain entre chaque map, il y a un chargement très long qui casse vraiment l'ambiance. Heureusement, cette édition GOTY nous offre ces 4 DLC qui rallongent beaucoup la durée de vie. Chaque DLC rapporte environ entre 5 à 8 heures de jeux en plus, comptant missions annexes, missions principales, et des trophés en plus. Petite déception cependant sur le DLC "Mad Moxxi" qui n'est qu'une multitudes d'arènes assez ennuyante en solo. Bref pour finir cette édition, comptez au total sur environ 80H de jeu, si vous aimez fouiller un peu partout.

-Scénario: 15
Question scénario, le jeu est assez, comment dire...con. Vous arrivez sur une planète comme ça et d'un coup vous ne savez pas pourquoi vous vous retrouvez impliqué dans une histoire d'arche qui apparaitrait tous les 200 ans. C'est dommage que l'histoire soit aussi simple. Les DLC aussi sont assez simple d'esprit et ne relève pas du scénario hollywoodien. Contrairement à Fallout ou la le scénario était bien plus complexe et on pouvait interagir avec et ça rendait le jeu très immersif.
Sinon, au début, y'a un truc assez sympa, vous avez le choix entre 4 personnages qui ont leurs aptitudes bien à eux et ça c'est super sympa, ça pourrait faire éventuellement un atout mais quand on voit qu'à coté, Fallout vous offre quelque chose de plus construit, bah au final on voit que c'est pas si bien, mais c'est mieux que rien.

-Générale: 16
Le jeu a été assez décevant pour ma part qui avait auparavant retourné Fallout New Vegas. Il n'en est pas moins un excellent jeu qui vous apportera un univers singulier qui fera penser à Fallout bien évidemment mais aussi Mad Max. Un univers futuriste, désertique, des armes, des monstres, avis aux amateurs de RPG/FPS/HACK N'SLASH/MICRO-WAVE, ce jeu
pour la somme de 30 € est a ne pas rater. (Par contre évitez le jeu seul qui sera assez court et répétitif".

Aperçus:

Menu de choix des aptitudes

In Game

Les véhicules du jeu